De la chanson et la poésie, il a extrait l’amour des mots, absurdes et beaux. Du hip-hop velouté et de la house originelle, un goût aiguisé pour les rythmiques efficaces. Mais c’est le rock qui a fait vibrer l’âme adolescente de Calin Dica. Dans sa tête un petit yokaï lui streame du son, jour et nuit, qu’il le veuille ou non. Comment faire autrement que le sortir ? Armé d’une groovebox et d’un sampler, une électro-guitare bricolée façon DIY dans les mains, il exhale des plaintes et des désirs, de la joie et du plaisir, de la passion et une putain de rébellion. Parce qu’on ne vit qu’une fois. « J’ai voulu embrasser mon enfant intérieur : ce petit enfoiré m’a mordu »